Cuba 2005 : calor y salsa Page 12/15 [ Page précédente ] [ Page suivante ] J12 - Samedi 30 juillet 2005 : SANTIAGO DE CUBA A peine sommes-nous montés dans le bus que commence une grosse averse tropicale, à laquelle nous échappons de justesse ! Mais il nous faut encore passer à la banque car nous sommes tous à sec... Le bus passe avec difficultés dans les petites rues de Baracoa, pour nous amener finalement jusqu'à la banque, où nous passons une bonne demi-heure avant de repartir vers l'est. Nous traversons des paysages qui ne sont pas sans rappeller les reliefs de l'Alsace ou de la Corse !!! Etonnant... Tormenta tropical Cactus et océan Décor de western Carine passionnée par ses mots croisés Puis c'est le bord de mer et un décor sec de petits arbustes, d'agaves et de cactus candélabres digne des meilleurs westerns. Nous passons près de Guantanamo et son plus grand champ de mines au monde (l'enclave est entourée par un champ de mines américain + un champ de mines cubain). Une petite pause technique et café dans un hôtel et nous repartons vers le sud-ouest. Nous arrivons à Santiago vers 13h. Nous déjeunons dans l'un des meilleurs restaurants de la ville, appellé "Zun zun" (soit "Le colibri"), grande maison coloniale aménagée en salles à manger, où nous voyons proposer lapin, langouste, poisson ou cochon. Le repas est bercé par les douces voix des "bayamesas" duo de chanteuses enchanteresses, dont nous sommes d'ailleurs plusieurs à acheter le CD ensuite (rien de mieux pour se calmer dans les bouchons), avec un bisou en prime ! Nous nous installons ensuite à l'hôtel "Las Americas", d'où nous repartons rapidement pour visiter le centre-ville. Après un premier tour rapide dans le centre, où se prépare un défilé, nous nous séparons. Notre groupe commence par prendre un rafraîchissement en terrasse, avant de laisser Roberto rendre visite à un cousin. Petit problème de roue... L'ange est réputé veiller sur les jeunes femmes qui traversent la place Nous arpentons les rues de Santiago lorsque le ciel se fait de plus en plus menaçant et l'orage gronde. Une, deux, trois gouttes... Vite, sous un porche ! Des parasols qui font office de brumisateurs... La pluie fait luir les rues.... ...et se planquer les touristes !!! Après vingt minutes d'attente, ça semble se calme run peu... Les capes de pluies nous permettront de rejoindre le bus sans trop nous mouiller. Quoique... En arrivant, nous sommes bel et bien trempés quand même. D'ailleurs dès lors que nous sommes rentrés dans le bus, la pluie s'arrête totalement. Normal !!! En attendant le départ du bus, nous regardons un match de foot sur un terrain qui ressemble plus à une piscine... et où certains joueurs jouent pieds nus !!! Touristes à l'abri La dernière mode à Santiago : la cape de pluie ! A deux, c'est mieux... Match de foot (ou de water-polo) Nous séchons tranquillement en attendant l'heure de l'apéro, près de la piscine, puis du dîner où nous avons droit au pire groupe depuis le début : deux types dont l'un qui imite la trompette avec sa bouche, dans un style "circe Pinder" d'un ridicule achevé, au point que certains ne peuvent retenir des explosions d'un rire nerveux. Il est vrai que c'est terrible !!! La soirée se déroule confortablement installés dans les fauteuils près de la piscine, à faire quelques massages et à philosopher sur le célibat (eh oui, beaucoup de concernés ici !) et les aléas de la vie. Petite tranche de mélancolie... Apéro Pascale et le barrreau de chaise Lionel fumando Au tour de Laurence... [ Page précédente ] [ Page suivante ]