MADAGASCAR 2001 : On devrait tous s'offrir une Madathérapie !!!

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J17 - Samedi 25 août : Musique !

Voilà une journée qui commence bien : grasse-mat jusqu'à 8h !!! Du jamais vu... Le petit dèje est calme également, le départ n'étant prévu qu'à 9h, pour une 'piscine naturelle', à une bonne heure de marche du camp (après un magnifique épisode où je cours dans tous les sens à la recherche de mon short... que j'avais en fait mis dans mon sac). La piscine naturelle est une petite cuvette rocheuse (où le niveau de l'eau est sensiblement plus élevé à la saison des pluies) où les plus courageux se baignent et les autres (brrr, elle est froide !) font la sieste. La journée passe ainsi paisiblement, comme un dimanche qui serait tombé un samedi...

Picine naturelleCiro en pleine action
La 'piscine naturelle'Ciro fait du sport


Nous regagnons le camp par petits groupes, lesquels traversent un autre camps aux aspects plus 'militaires' (ce ne sont des tentes, alors que le camp Catta est fait d'une majorité de bâtiments en dur), mais avec plusieurs chaises malgaches, composées de deux morceaux de bois emboîtés, ornés de jolies sculptures. Encore des idées d'emplettes... vivement 'amboucht' ! (que les puristes ne m'en veuillent pas de ne pas écrire 'Ambositra', vrai nom du paradis du bois, à chaque fois, mais la prononciation 'amboucht' a un charme certain que je désire faire partager aux lecteurs qui auront eu le courage d'arriver jusque là.

C'est samedi soir et c'est notre dernier soir au camp Catta. Nous avons donc droit tout d'abord à un excellent repas : roumazave, crêpes 'Séraphine' (crêpes au chocolat à la façon de notre super-cuisinière), puis on pousse les tables et c'est le début d'une soirée musicale où tous les gens du camp rivalisent de talent pour nous gratifier de magnifiques chansons malgaches avec des instruments de fortune : guitare antédiluvienne, bassine d'eau en guise de batterie, fourchettes, boîte de conserve avec des haricots secs dedans... et une dizaine de voix magnifiques, alliées à un enthousiasme rafraîchissant. Les deux fillettes de la bande n'étant pas les moins enthousiasmes ! S'ensuit une migration progressive de tout le monde vers la piste de danse, vazahas compris.

Coucher de soleilSéraphine et Maya
Le soleil se couche sur la magnifique silhouette
des sommets environnants
L'enthousiasme de Séraphine et Maya


Du zouk au reggae, en passant par des danses qui nous sont tout à plein inconnues (voire parfois un peu complexes pour nous), ça bouge jusqu'à presque minuit (le record de Morondava est battu !). On retiendra les prestations de Serge, l'infatigable danseur fou (malgré ses petits ennuis de santé à répétition), claire, la seule à intégrer complètement les pas des danses locales, mais tout le monde a su apporter son enthousiasme à cette soirée haute en couleurs, arrosée comme il se doit de THB et de Moramby (apéro local entre le vin cuit et le vin d'orange). Même Tsiry gagne la piste en fin de soirée, malgré sa hanche douloureuse.

Avec les moyens du bordLes vazahas déchaînés
Une musique qui rend heureux,
même si eux semblent l'être tout le temps...
Les vazahas se déchaînent !!!


Quant aux chansons malgaches, nous fûmes surpris d'apprendre qu'elles parlaient parfois de tristesse, de mort et de mélancolie, alors qu'elles étaient joyeuses et entraînantes comme bien peu de choses qui passent sur nos radios FM françaises... C'est certainement là l'un des secrets de la philosophie malgache. L'optimisme est l'une des clés de la 'Madathérapie' !

J18 - Dimanche 26 août : Un caméléon dans le moteur

Départ 7h30 dans le même camion qui nous avait amené, pour retrouver... personne ! Mais où est Jean-Jacques ? Tsiry n'est pas content... Qu'à cela ne tienne, nous grimpons dans le camion qui va à Ambalavao, où nous deovons de toute façon faire étape. La route étant goudronnée, nous dépassons les 10 km/h, ce qui nous oblige à nous emmitouffler nettement plus ! En arrivant à Ambalavao, nous apercevons.. Jean-Jacques et le minibus, dont le moteur est complètement démonté à côté. En fait, une pièce de l'embrayage a cassé et il n'y a pas par ailleurs la pièce de rechange dans le coin. Mais Jean-Jacques dit avoir une solution. Nous rentrons dans la ville et le camion nous dépose dans un lieu qui fait à la fois restaurant et... atelier de fabrication de papier 'Antemoro'. La ville est réputée pour son papier (normal pour une ville dont le nom commence par 'emball' !!!), fait artisanalement avec de la pâte à papier et... des fleurs fraîches 'incluses' dans chaque page ! Joli, mais pas forcément pratique pour écrire. Le groupe fait néanmoins honneur au magasin, après la visite de l'atelier.

Couleurs à AmbalavaoFabrication du papier
Fabrication du papier Antaimoro
Fabrication du papier


Nous digérons tranquillement l'excellent repas en nous prélassant dans le jardin du restaurant (doté de magnifiques massifs de bougainvillées rouges et violettes)... Finalement, Jean-Jacques arrive : il a réparé notre camion avec... un embrayage de 404 !!! Ca accroche un petit peu, mais ça marche ! Ils sont forts...

Bon, assez lambiné, c'est Tsiry qui prend les commandes. Ca speede un peu plus ! Quelques rapides arrêts-photo, le temps d'admirer les paysages qui sont à nouveau verdoyants et vallonnés, avec de nombreuses rizière et habitations. On est revenus sur les hauts-plateaux.

Nous traversons Fianarantsoa (prononcer 'Fianarantsou'), où nous nous arrêtons juste un petit quart d'heure, le temps de visiter un magasin de souvenirs et de cartes postales : les premiers signes de fièvre acheteuse ne trompent pas. Leur stock de cartes postales est dévalisé ! Et aussi celui de chupa chups...quelle bande de gourmands ! Puis nous repartons, notre hôtel est 25 kilomètres plus loin, vers Sahambavy, ville fameuse pour sa plantation de thé.

RizièresMaisons de Barbie
Retour aux paysages des hauts-plateauxC'est une maison bleue... et une maison rose !


Le Lac Hôtel nous propose de charmants bungalows. "Charmant" n'est en fait pas forcément le terme exact. "Méga-kitsch" est plus adapté... Nous logeons par deux dans des petits bungalows à mi-chemin entre le chalet et la maison de poupées. En plus, le hasard place les deux Christophe dans le chalet rose, dont la particularité est qu'il est aussi rose dehors que son mobilier est rose également. Enfin, au moins on a de l'eau chaude !!!

Après un bon et copieux dîner, nous revenons à notre maison de poupée où nous bavarons un peu avec claire et Muriel, qui sont dans le bungalow bleu (tout y est bleu !) à côté du nôtre, avant de jeter le voile de l'obscurité sur ce magnifique décor.

J19 - Lundi 27 août : Un peu de thé, beaucoup de bois !

En allant prendre notre petit déjeuner, nous sommes croisés par un train, événement assez rare à Madagascar pour être signalé ! Nous découvrons le splendide jardin de l'hôtel, où de magnifiques fleurs côtoient hélàs de sordides cages où de malheureux makis sont entassés, s'agitant frénétiquement, comme si leur énergie pouvait leur permettre de trouver la sortie de cette prison. Ca fait vraiment mal au coeur... même la délicisuese confiture d'ananas a du mal à nous faire oublier ce genre de chose.

Non loin de là, nous pénétrons dans la plantation de thé, où l'on nous guide à travers la chpine de fabrication et de conditionnement. Les machines sont visiblement de vieilles machines anglaises, peut-être récupérées des usines indiennes lorsque celles-ci se sont modernisées. En tous cas, c'est une vision assez singulière d'une industrie... artisanale !

Usine à théAchat de thé
Le travail à la chaîne artisanal...Claire et son butin :
quelques kilos de thé à la vanille


On nous explique les "3 c" : cutting, cunning, cleaning... Le thé est ainsi cueilli, nettoyé, flétri, séché, calibré (un tamis vibreur sépare les feuilles des fibres), emballage et...dégustation ! Une cuillère pour le pot plus une cuillère par tasse. Nous dégustons le thé nature, puis le thé à la vanille (avec de vraies gousses dedans !). Excellentissimme !!! Nous ne partons pas sans acheter des quantités respectables de cet ecellent thé (surtout celui à la vanille !).

Et nous voilà repartis vers Ambositra, capitale du bois et point prévu d'alourdissement de notre chargement. Tsiry fonce (on dépasse parfois les 60, voire 70 km/h !!!), ne s'arrêtant que pour acheter un plein chapeau de poc-pocs, petits fruits ressemblant à des tomates-cerises qui ne seraient pas mûres. La route étant quelque peu sinueuse et comportant de nombreuses montées, nous arrivons péniblement vers 13h30. Nous commençons par un excellent repas de rôti, rougailles, légumes divers. La rapidité du service nous laisse le temps d'aller visiter le magasin du restaurant (qui est en plein dans la rue commerçante d'Ambositra) et même celui d'en face.

Le repas à même terminé, nous démarrons note course aux achats. Je fais équipe avec Claire pour un accès de fièvre acheteuse encore plus fort. De 15h à 17h30, dix fauves sont lachés dans la ville à la recherche de boîtes, statues, totems, chaises... repassant à la camionnette de temps à autres pour déposer nos achats et mieux repartir vers d'autres acquisitions, sous le regard amusé des enfants du cpn, qui rendent la chose un peu plus épique en nous assaillant de demandes : une adresse pour correspondre, des bonbons, des sous, ou encore "Viens avec moi, je connais un bon magasin" à 500m de là, alors qu'on a tout e qu'il faut dans la rue...

Nous repartons, la camionnette surchagée de sacs et de paquets, sous les sièges, dans le coffre, sur les genoux... Nous roulons vers Antsirabe, à travers un paysage qui s'obscurcit peu à peu, mettant en avant les nombreux feux de brousse, le plus souvent provoqués par les habitants qui déboisent, au grand désespoir de Tsiry qui voit bien que le pays gâche peu à peu son patrimoine, sans que quiconque puisse faire qui que ce soit... Les pompiers ? que peuvent-ils faire ? Et qui va les appeler ? Comment ? (il n'y a le téléphone que dans les grandes villes)
Nous comptons les bornes kilométriques : Madagascar est un pays où le terme "dix bornes" a réellement du sens.

Nous voilà rendus à Antsirabe, ville la plus froide du pays. C'est peut-être pour cela que 50% de l'industrie malgache y est installée (il n'y fait pas trop chaud pour travailler !). La ville a été développée par des missionnaires norvégiens, qui y ont installé les fameux thermes. Eh oui, Antsirabe est une ville d'eau ! Nous passons l'hôtel-restaurant-casiono chinois qui semble tout droite sorti de Las Vegas et nous installons dans une grande maison d'hôtes confortable où nous faisons lal queue pour la douche, où hacun met dix minutes à comprendre comment avoir de l'eau chaude. Heureux d'avoir triomphé de ces petits inconvénients, je m'apprête à sortir de la salle de bains lorsque le miroir (enfin, le carreau de miroir vaguement posé devant le lavabo) tombe et sexplose en mille morceaux. Il me sera facturé quelque chose comme quarante francs...bonjour l'arnaque !!!

Heureusement, le punch planteur, le zébu aux petits légumes et l'excellent salade de fruits frais nous font oublier la fraîcheur des environs (on n'est plus habitués !) et nos péripéties domestiques. Encore quelques cartes, une bonne soirée de discussion et on regagne nos lits bien chauds).

J20 - Mardi 28 août : Tour de la ville et tour du lac

Le réveil est frais, le ciel est rempli de nuages (ça, on n'avait VRAIMENT plus l'habitude !!!), mais pain frais et délicieux jus d'orange nous font oublier ces petits problèmes. Et c'est rassasiés que nous partons à la découverte de la ville. Un troupeau de pousse-pousses s'est formé devant la sortie de la maison : chacun nous propose ses services...en vain, le soleil perce à travers les nuages et nous avons envie de marcher.

Pierres diversesPierres variées
Des pierres...Toutes sortes de pierres...
des kilos de pierres !!!


Après un petit arrêt à la poste, nous traversons la ville pour visiter un atelier de travail de la pierre où... l'on commence par nous offrir un petit cadeau (tortue en pierre ou cendrier), avant de nous montrer les différentes phases de la taille, pour finir par... le magasin ! Une vraie caverne d'Ali-Baba pourles amateurs de minéraux, à laquelle nous faisons honneur (qui en aurait douté ?).

Miniatures
 
Miniatures en fer recyclé...
le grand classique malgache !
Interdit aux pousse-pousses
Interdit aux pousse-pousses...
Ca va être dur !!!
 
Boissons alcooliques & hygiéniques
euh... les deux à la fois ?
Boissons alcooliques & hygiéniques


Nous revenons par le centre-ville, où nous nous arrêtons un petit quart d'heure dans le grand hôtel des Thermes, au charme colonial désuet, avant de revenir par les magasins, où nous faisons encore quelques emplettes. Nous revenons à temps pour le déjeuner dans le jardin : saucisses et pois du Cap (gros pois blancs, délicieux) ou roumazave (zébu et épinards), puis beignets de bananes, arrosés des boissons désormais classiques pour nos repas : THB, coca et eau gazeuse.

La vache qui ritPousse-pousses
Si la vache qui rit rit,
c'est qu'elle est malgache !!!
Pousse-pousses à volonté !


Cet après-midi, nous partons nous balader autour du lac Andraikiba, au choix en VTT ou à cheval. Le lac a une légende : un roi local hésitait entre deux de ses épouses pour choisir sa favorite. Il décida alors de leur faire traverser le lac à la nage, la première arrivée devenant alors sa favorite. L'une d'entre elles, qui était enceinte sans que le roi le sache, se noya au milieu du lac. Une histoire bien triste pour un lac bien beau.
Le VTT ne me tenant pas des masses, j'opte pour le cheval... Mais c'est une première ! En attendna tque le spremiers cavaliers aient fini leur tour, nous observons les touristes débarquer pour voir... les stands de vente de souvenirs et de pierres !!! Le lac... ah, il y a un lac ??? Je ne sais pas s'ils l'ont vu.

VTTCactus
 
Cactus au soleil couchant
VTT pour les sportifs
 
Cavalier pour...
les vrais aventuriers !
Cavaliers


C'est excellent le cheval ! Le trot, c'est marrant, mais ça fait mal aux fesses. Quant au galop, on verra quand même ça une autre fois. Mais c'est une bonne première expérience, qui nous fait regagner notre domicile antsirabois avec le sourire au lèvres... même si c'est le dernier soir à Mada !!!
Pour un dernier soir, le repas est encore une fois excellent, mais nous ne nous couchons pas trop tard... le temps de rédiger les dernières cartes postales. Et demain, le dernier jour sera long !!

J21 - Mercredi 29 août : Tana et puis s'en va...

Le lever à 5h30 est dur, mais ce n'est pas ça qui va nous faire peur !!! Nous engloutissons notre petit déjeuner de manière à être prêts le pus tôt possible. Je règle la note (un peu salée... on voit qu'on se rapproche de Tana !) et on s'en va vers 6h45. Le temps est gris et... il pleut ! Un seul arrêt en bord de route pour acheter quelques voitures miniatures en métal recyclé, puis nous arrivons à Tana vers 10h15.

MiniaturesAchat de vanille
Un dernier arrêt pour les miniaturesMuriel négocie la vanille
Coucher de soleil
Le soleil se couche sur la banlieue de Tana...
Notre dernier coucher de soleil malgache... cette année !


Là, c'est le début d'un planning endiablé : arrêt à un petit magasin à côté du Hilton où l'on vend peluches et t-shirts, arrêt rapide au marché d'artisanat pour se préparer psychologiquement au passage de cet après-midi, où l'on passera plus de temps. Pause-déjeuner à "La chaumière", excellent restaurant réunionnais. C'est l'occasion d'entendre une denrière fois le "Eh...bien !" d'Angela, elle et Ciro s'envolant pour Sainte-Marie en dbut d'après-midi.

Nous retournons à Tana, où nous passons par une banque : certains désirent retirer encore un peud 'argent pour leurs derniers achats, pendant que d'autres (dont votre serviteur) partenat à la découverte d'un hypermarché malgache : un Champion, comme à côté de chez moi ! Les produiots sont cependant quelque peu différents... j'y achète beaucoup d'épices et de la musique locale. Puis nous repassons au Hilton, à l'intéieur duquel nous découvrons (même Tsiry ne le svait pas) un distributeur de billets (carte Visa uniquement, mais c'est déjà ça !!!), puis au marché aux fleurs (où l'on nous court après pour nou demander de l'argent après qu'on ait pris une photo d'un des stands...). Le vendeur auquel Claire et moi avions acheté la vanille le midi nous apostrophe sur un ton de plaisanterie et nous dit que "La dame a été méchante" : Lyne et Franck ont bien fait baisser le prix de la vanille !!! Enfin, quelques objets en rafia et quelques babioles en bois plus tard, nous avons épuisé presque tous nos francs malgaches. De toute façon, les derniers magasins ferment avec la tombée de la nuit. Un dernier sprint vers le dernier magasin pour nos derniers achats, et nous repartons vers "La chaumière", après deux ou trois derniers arrêts photo.

TsiryDernier dîner à Tana
Le sourire de TsiryNotre dernier dîner à Tana


Nous retrouvons au restaurant encore une fois Bruno, notre chauffeur à casquette, qui nous redit qu'il regrette de ne pas nous avoir accompagnés dans notre seconde partie de voyage (il s'est arrêté à Tsiro, prenant un groupe Club Aventures).
Nous faisons honneur à notre dernier dernier repas malgache (mis à par quelques estomacs un peu fragilisés et mis à la diète) et prenons nos dernières photos, en mettant à contribution le serveur qui va jusqu'à nous apporter de ombrelles pour une photo très stylée !!! Une jolie idée de claire.

Après avoir fait nos adieux à Tsiry, notre fabuleux guide, et à Jean-Jacques, nous voilà lachés dans l'aéroport, à commencer par l'embarquement : avec 30 kg, je suis à peu près dans les règles, mais Claire nous bat largement avec 40 kg !!! La douane commence à nous faire des histoires pour les chaises, en citant je ne sais quelle loi sur le palissandre (bizarre, bizarre...), sans trop insister, heureusement. Une fois nos bagages enregistrés, nous voici lachés dans l'aéroport, pour... le dernier shopping ! Auquel nous faisons honneur, comme il se doit, avant de rejoindre notre siège sur notre vol Air France.

Le seul film que j'entraperçois est "Le Mexicain", comédie américains caricaturale et nullissimme. Pas grave, on va bientôt avoir l'occasion de retourner au ciné.
Comment conclure après ce périple ? Un beau pays, des gens agréables, une gastronomie de qualité, un joli parcours, pas de problèmes graves (claire a retrouvé tous ses bagages en cours de route, et aucun n'a été perdu en vol !), une bonne ambiance, un beau solieil, des paysages variés et spectaculaires... Madagascar, c''est tout cela, et bien plus encore. C'est un paysd'une grande beauté, attachant et agréable. Nous débarquons à Roissy en nous disant qu'il y a fort à parier nombreux seront ceux d'entre nous qui retourneront à Madagascar. De toute façon, nous avons tous emmené un peu de terre malgache, ne serait-ce que sur nos vêtements !!!

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