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...Mi-1996 : 70 rue Rivay...

Les locaux de Blenheim (qui devait devenir Miller-Freeman lors de notre passage : serait-ce l'effet de 'ze Allaban touch' ?), dont certains sont familiers. Ca paraît grand au départ...

Bah y'a de la place !!! Tu crois que ça durera ?François Yves pour fumer,
Olivier pour chanter,
Christophe pour pioncer...
...et Laurent pour le PSG !!!

Environnement oblige, c'est l'époque des sites de salon : Décoplanet, Confortec, Interclima, Franchise, Interop, Equiphotel, SITL, Interclima, Batimat, (Cendartec, l'univers magique du cendrier, Godexpo le salon qui... ah, non, ceux-là, on y a échappé...). Avec le père Cappronier et Agnès, qui courent après les bases Access...

Début 97 Les locaux sont grands, il faut bien les occuper ! Et puis un gros projet se profile... Procar, ça s'appelle ! Arrive alors Pierrot, pour son stage de fin d'études. Il est curieux (dans les deux sens du terme !) mais ça a l'air de l'intéresser. Tant mieux (et puis, on l'aime bien quand même, même quand il oublie une ligne de code !!!).

Mai 97 : le séminaire à Manthelan. Par respect pour participants, nous ne parlerons ni des auto-tamponneuses avec des mineures, ni de la chenille à la fête du village.

Le marché décolle, d'où une nouvelle vague d'arrivée : Séverine, P'tit Pierre, Norbert. L'équipe de développement est au top. C'est la naissance de ce que les mauvaises langues appellent le 'funérarium', ou salle de travail au calme, sans musique. Franchement, aucune idée de l'origine de ce surnom ! ;-)

La SIESTE !!!
Voilà pourquoi on veut du calme...
Les dessins de Vincent,
nos 'Guignols d'Allaban' à nous !
Et Laurent, son JPP à lui...
Vincent n'aime pas trop les séminaires depuis Manthelan...
Sans doute une allergie aux chenilles !!!
Première apparition de Philou le pinpin
dans "Massacre au séminaire"...

C'est l'époque de la FNAIM, avec Miss Pinpin, Moreau et TMS, de Procar et des coups de gueule de Triomphe... C'est la naissance du rôle de chef de projet, demandé par les développeurs et défriché par Bruno. C'est le passage d'Annick, dans le rôle du moulin à paroles, de Dominique Monet, dans un rôle que personne n'a compris (pas même elle, visiblement), l'arrivée de Delphine au standard et au support-Philippe (dur métier !), celle de Manue à la compta, celle de Vincent 'le 2ème du nom' et Guillaume, après un essai infructueux avec Cyril, le graphiste qui aimait les carrés et Thomas, le graphiste qui n'aimait rien du tout. Le premier Polopassion avec Laurent dans le rôle de Gaston Lagaffe.

Des stagiaires passent : Etienne, Adrien, Jean-Charles, Jean-Eudes, Benoît, Léa... Tous avec des succès... euh... divers, on va dire. Des nouveaux arrivent : la charmeuse Marie, l'efficace Elisabeth, le délirant Mathieu. Nous partageons nos locaux avec Intecom, en la personne de la pulpeuse Martine et du bavard Lionel.

Le cakophage, personnage mythique
qui fleure le beurre salé et de cigare...
Le voyage à Las Vegas de François Yves et Dominique, vu par Vincent...
Les radotages du cakophage... Et la revanche of ze cakes !

Quasiment une vingtaine, l'idéal pour se refaire un petit séminaire ! Le Château de Rosay (à ne pas confondre avec celui de Curzay, hélas !), où nous avons eu du samon en entrée, du saumon en plat, du fromage de saumon et du sorbet au saumon. Ou quelque chose comme ça... On nous présente l'organisation à venir, les rôles de chacun dans celle-ci, ainsi que notre stratégie. Pas mal. Une petite soirée dansante (vous désirez des bières ? Ah, écoutez, je vais voir ce qu'on peut faire, mais bon...

Pour la petite histoire, le Château de Rosay mettra la clé sous la porte quelques mois après notre passage. Serait-ce le 'Allaban Touch' ? Non, c'est plutôt le saumon.

Côté jour...Côté nuit...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'hiver arrive... et son cortège de changements. Dominique Monet s'en va, tout comme Annick, Dominique Bonnerat passe... Sandrine arrive comme chef de projet, Régis comme directeur commercial. Les projets vont et viennent... Mais encore une fois...les locaux se font petits, trop petits. La solution ? Déménager. Où ça ? A Levallois, des fois qu'on risquerait d'être dépaysés. Après le funérarium, le cimetière ! A nous la rue Raspail...


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